mentalité

Bavard
J’aime parler ! Un vrai moulin à parole, et c’est pire quand je suis bourré… sauf qu’on s’entend bien sur le fait que mes sujets de conversations sont assez ridicules dans ces moments-là, comparés à ceux que je suis capable d’avoir dans mon état normal. J’ai la parlote tellement facile que j’aurais pu faire vendeur à la télé ou animateur radio, j’en suis sûr. Étant donné que j’ai la chance d’être plus cultivé que j’en ai l’air, ça m’intéresse toujours d’apprendre de nouvelles choses de la part des autres, et ça m’excite encore plus de dévoiler mon propre savoir. Connaître les gens, ça me plaît, c’est plus pratique ensuite pour les manipuler, les mettre dans mon lit ou encore plus simplement, pour m’en faire de bons amis. En fait, le Chu Jung est un vrai beau parleur pour arranger ses petites affaires… J’suis un peu comme une fille, j’ai tendance à commérer dans le dos des gens et à chercher leurs secrets, juste pour savoir même si ça ne me sert strictement à rien.

Fourbe
Hum, ouais, j’avoue, il ne faut pas trop me faire confiance, ou alors à vos risques et périls. Si ça peut m’amener une quelconque satisfaction, un truc en plus ou me sortir d’une situation embarrassante, je n’hésiterais pas très longtemps avant de dévoiler vos secrets, même si vous m’avez fait jurer de ne rien dire. Ma parole ne vaut rien, et je suis quelqu’un d’assez hypocrite qui ne se soucie pas toujours de ce que peut penser mon entourage proche ou éloigné. J’m’en fiche. Ils finissent toujours par me revenir, tôt ou tard, c’est plus fort qu’eux, j’attire le gens comme un aimant et ils ne voient pas que je pourrais les trahir en cas de besoin. Ça ne veut pas non plus dire que je fais ça à tout le monde ! C’est aussi un moyen de vengeance, faites attention si vous m’avez blessé, vexé ou si vous êtes un de mes ennemis car je pourrais non seulement raconter vos petites histoires honteuses, mais aussi créer de vilaines intox à votre sujet. On se défend comme on peut, non ?

Trop indépendant ?
Je sais me débrouiller tout seul, et j’aime le montrer, j’aime qu’on le sache. Généralement, j’ai pas besoin d’aide pour me sortir d’embrouilles quelconque ou pour réussir à faire quelque chose. Je suis sans doute trop fier pour demander, aussi. Aussi, je ne m’attache pas facilement, j’estime n’avoir besoin de personne pour avancer dans la vie et bien que je manipule facilement les gens pour obtenir d’eux ce que je souhaite, je ne les garde pas auprès de moi très longtemps. Rares sont les personnes qui peuvent encore se vanter être proches de moi, tant je peine à apprécier la compagnie des autres. Pas que j’aime la solitude, non, loin de là, mais je ne conserve personne trop à proximité de moi car ça ne sert à rien. Je gère mes coups durs, mes envies de pleurer ou mes sentiments tout seul comme un grand et je n’ai pas besoin d’une épaule pour pleurer, d’ailleurs je ne pleure pas souvent. On ne peut pas me reprocher de savoir m’occuper de mon propre cas par moi-même, n’est-ce pas ?

Menteur
C’est pas bien, je sais, mais je suis un sale menteur. Oh, après il y a mensonge et mensonge. Il y a quand je mens pour parvenir à quelque chose, le plus souvent cette démarche se met en place lorsque je cherche à charmer quelqu’un, sous plusieurs rapports différents. Et il y a quand je raconte des bobards pour protéger mon entourage ou pour qu’on ne se fasse pas de souci pour moi. C’est pas trop mauvais, ça. J’ai besoin de mentir dans ce but car je n’aime pas inquiéter mes proches, si rares peuvent-ils être. Après tout, personnellement je ne m’inquiète pas pour eux, ou alors il faut absolument qu’il y ait une bonne raison, donc je ne veux pas accaparer leur attention lorsque je vais mal. En plus, je ne vais pas souvent mal, alors bon… Je pourrais parfaitement vivre sans mentir, tout comme je pourrais arrêter de manipuler autrui comme bon me semble dans mon propre intérêt, mais je n’ai pas pour l’instant le cœur à me stopper sur ma lancée, j’apprécie trop d’avoir ce pouvoir de contrôle sur tout le monde…

Sociable
Et oui, j’ai quelques qualités qui n’ont rien à voir avec mes défauts ! Malgré tout, j’aime plaisanter d’un ton léger et j’aime m’amuser de pleins de façons différentes. Ma spécialité reste tout de même les plaisanteries reposant sur le sarcasme ou la perversité, mais je sais rester frais et tout public aussi. J’aime beaucoup sortir, et je suis très ouvert d’esprit, alors je m’entends assez bien avec n’importe qui et avec n’importe quelle personnalité, aussi étrange puisse-t-elle se présenter à moi. Après tout, moi aussi, je suis une bête de foire, d’une certaine façon, alors ça me plaît d’être en la compagnie d’autres personnes bizarres. Sociable par nature, j’attire les gens, ils ont souvent tendance à bien m’apprécier même si je me joue d’eux (souvent, ils ne remarquent rien donc j’en profite) et je suis réellement capable d’avoir n’importe quelle relation avec qui que ce soit. Je pourrais, par exemple, et je l’ai déjà fait plusieurs fois, mettre un hétéro complet dans mon lit sans qu’il n’oppose aucune résistance. Pratique, n’est-ce pas ?

Pervers
Et bien oui, avec mon second métier, il le faut bien sinon ça va pas du tout… et c’est pas une mauvaise chose ! En plus j’embrasse comme un dieu -quoique, il y a d’autres choses que je fais comme un dieu mais on va taire ces talents pour le moment-, alors ma perversité est aussi utilisée pour le plaisir des autres ;D

Geek
Avec mes études, je me retrouve déjà souvent derrière un écran, mais même chez moi, je suis un vrai geek. J’aime les jeux vidéos et je ne m’en cache pas, d’ailleurs je serais capable de ne faire que ça toute une journée sans voir le temps passer tant ça peut me plaire. Je ne suis pas un no-life, loin de là encore une fois, mais le monde virtuel m’a toujours attiré et m’intéresse tout autant que le monde réel. Que ce soit pour acheter des trucs stupides, discuter avec mes amis restés en Chine ou encore, pour recueillir un tas d’infos sur tout et n’importe quoi, j’adore utiliser internet. Après tout, c’est l’instrument typique relié à notre génération, alors je suis dans mon temps non ? Je suis un vrai pro en tout ce qui concerne les jeux, ils n’ont plus aucun secret pour moi. J’étais tellement bon que je voulais en faire mon métier, pour les créer ou en faire le graphisme, lorsque j’étais encore dans mon pays, mais mon père, ce pauvre rabat-joie, me l’avait interdit. Je n’ai pas renoncé mais disons simplement que j’ai mis une parenthèse à cette partie de ma vie en attendant que les choses se soient stabilisées pour moi.

story

« On dit que Chu Jung est né en Chine, dans une famille très aisée, et qu’il n’a jamais manqué de rien matériellement. Oui, on dit, parce qu’il n’en parle pas beaucoup, on est pas totalement sûr. De l’affection, en revanche, ses parents n’ont pas vraiment veillés à lui en fournir, jugeant sans doute que leur enfant n’en avait nullement besoin pour avancer dans ce monde impitoyable ou que leur argent suffirait à son bonheur. Pourtant, il ne l’avouera jamais lui-même, il aurait bien voulu parfois qu’on lui fasse un câlin quand il était gosse. Peut-être ses géniteurs n’avaient-il pas choisi la bonne manière d’éduquer leur rejeton, finalement. En même temps, c’est quoi, la bonne technique pour faire grandir un petit garçon ? Personne ne le sait vraiment, ce n’est pas du tout comme une recette de cuisine qui se termine soit ratée soit réussie, c’est plus compliqué et n’importe quel père ou mère vous le confirmera. Bref, vous aurez compris, on n’a pas beaucoup fait attention à Chu Jung lors de ses jeunes années, et il a dû se former tout seul pour affronter les duretés de la vie. Et pourtant, au début, il n’a eu aucun problème à gérer. Difficile de croire que par la suite, l’enfer s’est déchaîné, ou presque. Son père était PDG d’une entreprise chinoise florissante, sa mère tenait une bijouterie très célèbre à cette période, et lui, il allait dans une des meilleures maternelles de toute la Chine pour accumuler un savoir qui finira par ne pas lui être particulièrement utile. Il n’aimait pas l’école. Il n’aimait pas cet uniforme de snob, ce bâtiment effrayant et gigantesque, et surtout, il n’aimait pas qu’on chuchote sur son passage parce que son père avait fait d’énormes dons à l’école pour s’assurer que son fils aurait toute l’éducation dont il aurait besoin. À ce moment-là déjà, il espérait le voir prendre sa suite dans les affaires et rien n’était plus important que de se rassurer en se disant qu’il y parviendrait sans aucun souci. À cinq, six ans, le jeune garçonnet ne comprenait pas vraiment l’enjeu dans tout cela, et il se laissait docilement faire sans rien dire. Il suivait ses parents partout dans les réceptions où ils allaient, il restait poli et courtois, et jouait se son adorable petite bouille pour récolter les éloges des hauts dignitaires asiatiques ou même européens qui croisaient sa route. Déjà à cet âge, il avait saisit une chose : La manipulation, ou simplement, le fait d’être légèrement hypocrite et jouer un autre rôle, ça aide à avancer. Il était malin, et plus il grandissait, plus il voyait comment se débrouiller pour que ses parents soient fiers de lui tout en sachant pertinemment qu’il n’avait pas la moindre intention de reprendre l’entreprise familiale.
À son entrée au collège (un collège réputé et privé, évidemment), ses parents ne s’occupaient plus du tout de lui. Quand je dis plus du tout, c’est qu’il se retrouvait toujours seul à la maison car ils travaillaient d’arrache-pied. D’ailleurs, il avait un appartement pour lui tout seul dés ses seize ans, et ne les voyait qu’une fois par moi à peu près, lorsqu’ils venaient s’assurer que leur héritier était toujours en vie et en bonne santé. Cette période d’adolescence sans entourage familial ne l’a pas vraiment traumatisé, un ado, ça aime avoir sa liberté, et lui, Dieu qu’il était libre comme l’air puisque personne ne le surveillait. Aussi, en cours, il assurait comme une bête. Il conservait malgré tout la peur qu’on lui mette des chaînes si il ne faisait pas ce qu’on lui demandait -c’est-à-dire, avoir de bonnes notes- et bossait très dur pour obtenir les meilleurs résultats possible. Ce n’était pas le meilleur élève de l’école, mais il se classait dans les dix premiers avec une facilité déconcertante. De plus, il était populaire. Parce qu’il avait du fric, qu’il avait le style, qu’il était mignon et surtout, que c’était un gars sympa avec n’importe qui. Même ceux qu’ont jugeait « impopulaires » ou qui subissaient de l’ijime, il lui arrivait de leur parler d’un ton amical, tout simplement car à ses yeux, c’était stupide d’en mettre à part de la sorte. Et puis, la plupart du temps, il n’était pas au courant de leur statut au sein de l’école, aussi, n’y ayant jamais fait attention.
Vers sa dernière année de collège, il se découvrit une attirance beaucoup plus prononcée envers les garçons, ce qui, en premier lieu, l’alerta grandement. Et si ses parents l’apprenaient, le remarquaient ? Il les avait déjà vu s’horrifier devant l’homosexualité de certaines célébrités, et s’était rendu compte qu’il n’était pas bon du tout pour lui de dévoiler cette partie-là de sa personnalité. Pour ne pas paraître louche, il se laissa balader de fille en fille jusqu’au lycée. Les filles, elles avaient toutes tendance à tomber à ses pieds comme des mouches, alors il était facile pour lui d’en avoir autant qu’il voulait pour faire plaisir à sa mère. Et puis, dix-sept ans. L’âge où a plus envie de faire ce qu’on nous dit et où on envoie royalement chier le monde pour son propre intérêt. Lui, il l’a bien faite, cette période. Ses résultats scolaires ont chutés, il s’est mit à fumer, à aller en soirée, et surtout, il a arrêté de cacher ses préférences aux yeux de tout le monde. Tout le lycée savait. Ses parents… le soupçonnaient, à force d’entendre au bouche à oreille qu’il avait été surpris avec un garçon. Ils lui posaient parfois la question, mais il évitait de répondre habillement en prétextant de devoir partir ou d’avoir des devoirs. Puis, vint le jour où ses parents apprirent… la chose. Chu Jung a été renvoyé de son lycée pour avoir entreprit une relation peu catholique avec un professeur, dénoncé par un élève qui devait certainement avoir une dent contre lui. Et ce fut la catastrophe. Pour le punir, son père se mit à le battre, et, honteux, il plaça Chu Jung dans un lycée de bas étage en pensant qu’il en ressortirait plus docile par manque de luxe. Tout le contraire se produisit, il s’endurcit jusqu’à braver n’importe quelle autorité, et en terminant sa scolarité obligatoire avec des résultats tout juste satisfaisants.
Toujours très en colère, et voyant que ses mesures précédentes ne suffisaient pas à obliger son fils à rester plus discret, il le força à entreprendre des études pouvant le mener à sa succession. Il tenait malgré tout à ce qu’il le fasse. Plusieurs années passèrent durant lesquelles ont entendit parler de Chu Jung en tant que bourreau des cœurs masculins, car il n’était de loin pas décidé à plier. À ses dix-neuf ans, sa famille se mit d’un commun accord qu’un mariage arrangé serait parfait pour taire les rumeurs, et on colla au jeune homme une jolie fille un peu gourde et de bonne famille pour perpétuer la lignée. Horrifié, il s’enfuit le plus vite qu’il pu jusqu’au Japon. Pourquoi le Japon ? Parce qu’il en avait appris la langue en cours, et que ce pays l’intéressait depuis déjà un moment, il attendait juste le bon moment pour s’y rendre.
À présent, ça fait deux ans qu’il vit à Tokyo, en changeant régulièrement d’adresse pour ne pas se faire retrouver par ses parents. Il étudie l’informatique dans une école pas prestigieuse qui n’est pas pour autant mal classée et enseigne le karaté dans un club de sport. Aussi, pour boucler les fins de mois, notre jeune chinois a pris l’habitude de vendre ses fesses auprès d’amis et amis d’amis. »

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Style
J’aime bien la mode, mais je n’irai pas non plus jusqu’à dire que j’y suis accro et que je la suis dans les moindre détails. Comme tout le monde, je porte en priorité ce qui me plaît du moment que ça ne dépasse pas les limites du raisonnable côté prix. Malheureusement, je ne suis plus dans la classe aisée de la population, alors j‘ai dû m‘adapter à mon arrivée ici... Je mets le plus souvent des choses de couleurs neutres, comme le blanc ou le gris, voir le noir avec éventuellement quelques couleurs pastels lorsque je m’en sens inspiré. Je préfère toujours rester discret, même si j’avoue que les fringues que j’aime mettre font parfois tourner les yeux, de par les formes et les genres un peu étranges. La mode japonaise étant plus différente de son homologue chinoise que ce qu‘on pourrait croire, j’ai dû improviser pour m’habiller comme j’en avais la coutume auparavant en commandant, encore une fois, certains vêtements à l’étranger via internet. Niveau cheveux, je laisse la majorité du temps la coiffeuse s’amuser puisque tout me va, et je suis déjà passé par toute la gamme de couleurs ou mèches et que j’ai déjà eu une panoplie de coupes toutes plus recherchées et déstructurées les unes que les autres pour conserver cet aspect « classe » voir mignon que j’ai la chance de posséder.
Moi, androgyne ? Certainement, ça rentre dans la catégorie du style, non ? J’ai un visage fin, des traits délicats et une peau de bébé, donc en ajoutant le fait que je sois homo, forcément j’ai cette petite étincelle visuelle efféminée qui me va relativement bien et qui fait craquer autant les femmes que les hommes. C'est qu'elles sont étranges, ces demoiselles.

Gastronomie
J’aime beaucoup de choses, vous savez !
Culinairement, je suis un vrai gouffre sans fin ! Je m’enfile facilement tout ce qui se présente à moi dans l’estomac, que l’aspect visuel soit convaincant ou non. Ça peut être gluant, froid, brûlant, cuit ou à moitié cuit (voir cru…), du moment qu’on m’affirme que c’est comestible, je suis capable de le manger sans me poser plus de question que ça. J’aime particulièrement les plats aigre-doux, les carottes cuites, la patate douce, les fruits, le jambon, l‘omelette… les sucreries, aussi ! Un vrai fan, et le fait que je ne prenne pas un gramme même en avalant n’importe quoi, n’importe quand m’aide beaucoup pour en consommer le plus possible en un temps record. J’en fais même venir depuis pleins de pays étrangers pour tout goûter, juste par pure curiosité inutile. Pas besoin de me servir un plat quatre étoiles pour que ça me plaise, même si c’est toujours agréable de se retrouver face à une entrée de caviar suivie d’un canard confit tout droit cuisiné par un grand chef français… mais un sandwich au thon à la pause de midi juste avant de reprendre les cours ça me va très bien aussi, j’y suis d’ailleurs plus accoutumé qu’à la grande gastronomie de riches. Quand je vivais encore chez mes parents, on allait souvent au restaurant, et il s’agissait là de prestigieux établissements reconnus partout en Chine, généralement. La nourriture de snob ne m’a pas plus séduit qu’autre chose et je ne m’y suis pas habitué suffisamment pour qu’elle me manque maintenant que j’en suis privé. J’aime bien me glisser derrière les fourneaux à l’occasion, mais je ne garantis jamais la qualité de ce qui pourrait se retrouver dans les assiettes de mes convives… je cuisine beaucoup chinois, et ce qu’on mange là-bas peut parfois provoquer des sourires crispés aux petits japonais qui s’osent à goûter mes créations. On a tendance à dire qu’on mange n’importe quoi, mais pour dire ça de manière plus élégante, je dirais plutôt qu’on mange tout ce qui est mangeable même si c’est pas très engageant…

&cie
Eeeeuh… sinon, comme dit plus haut, j’aime un paquet de trucs qui n’ont pourtant rien à voir les uns avec les autres. J’aime l’automne pour pouvoir me jeter dans les tas de feuilles (et rentrer avec les cheveux en bataille et les habits complètement poussiéreux). Dormir, oui, parce que je suis capable de m’endormir n’importe où, sur un sol fait de dalles, dans une voiture, un avion ou même sur un banc dans la rue. J’aime… lire ! Oh oui, du moment qu’il y a beaucoup d’images avec très peu de texte… Sinon, naturellement, j’apprécie énormément les jeux vidéos en tout genre, l’électronique et la musique. Ah, et je suis accro aux potins, aussi, c’est bien pour ça que je passe une grande partie de mon temps sur l’ordinateur, ça me distrait. Pas que je n’ai pas de vie, loin de là, simplement que les petits malheurs des autres, ça m’éloigne et m’évite un peu de penser aux miens. J’suis un gros fêtard, contrairement aux préjugés que vous auriez pu vous faire à mon sujet, et une fois que l’alcool me monte à la tête, je ne me contrôle plus et change du tout au tout pour devenir quelqu’un de suffisamment extraverti pour danser en caleçon sur les tables… si si, ça m’est déjà arrivé. Je suis certain de pouvoir me recycler dans le striptease, en cas de besoin :D
Question goûts lorsque je cherche à me caser (et ouais, ça m’arrive !)… surprenez-moi j‘suis ouvert à tout \o/ Et je me répète, j’embrasse comme un dieu, faut profiter.